Autour d’une grande table en bois, quatre chercheurs-poètes-musiciens que l’eau inspire se sont donné rendez-vous.
Ils écoutent, observent, expérimentent. Recommencent. Tâtonnent. Créent.
Ils racontent : la vie, la mort, le mystère, le divin… Ils chantent.
L’eau chante aussi, murmure parfois.
Ils s’affairent avec le sérieux des enfants qui jouent.
On peut entendre le Chœur des petites âmes, celui de La fabrication des bébés. Le chant des pierres… et bien d’autres airs encore qui résonnent dans L’opéra imaginaire.
Dans ce monde dans lequel nous vivons et où grandissent nos enfants, ce théâtre musical nous rappelle l’importance et la beauté de l’imaginaire, de l’invisible et de la poésie.
