Sur scène, les peluches sont disposées en un tas immense et immobile. Puis, elles s’animent, s’agencent en un paysage de douceur, une montagne insolite, une cabane incroyable. Certaines prennent vie, déployant le récit de leurs mythologies drôles ou tragiques. Via la figure du doudou, Broutille traverse les territoires du sensible, de l’intime, du sacré et examine les rapports entre humains et animaux : filiations, fraternités, rivalités, territoires…
Un spectacle comme une tapisserie, un tissage visuel, symbolique et poétique qui, sans cesse, se fait et se défait à la recherche d’un lien.